Il a noté que "le Partenariat Public-Privé n’est pas une formule théorique, et qu’il a son application dans le réel. L’implication des ambassades des deux pays dans la formation et le lancement de ce Conseil est une preuve sensible de ce partenariat, et promet beaucoup de développement à l’avenir.
La Chambre de Beyrouth et du Mt-Liban accorde la plus grande importance aux Conseils d’affaires. Plus elle tient à son rôle de conseiller du Gouvernement en matière de commerce extérieur, plus elle tient à le faire en association avec les Conseils d’affaires qui vivent la réalité du terrain. Le résultat ne peut qu’être très satisfaisant.
En effet les hommes d’affaires libanais, notamment les membres de ce Conseil, sont également établis ou en étroite collaboration avec les pays du Golfe. Vous les trouverez en Irak et en Syrie entrain de préparer la reconstruction.
Pour cimenter les relations entre nos deux pays, je vous proposerais de faire en 2014 « La semaine de l’Italie au Liban » et en 2015 « la semaine du Liban en Italie ». Comme nous pouvons envisager des expositions communes dans les pays du Golfe a-t-il déclaré.
Le Liban peut paraitre fragilisé par les évènements qui le touchent ; il ne sera jamais réduit à l’inaction. Il porte en lui une dynamique qui a triomphé de toutes les adversités.
Le Conseil d’affaires Italo-Libanais vient s’ajouter aux liens étroits qui unissent les deux chambres. Déjà la Chambre de Beyrouth fait partie du réseau en formation « Euro-Mediterranean Development Center » qui, à l’initiative de PROMOS, se propose de répandre autour de la Méditerranée les « bonnes pratiques » au service de la Micro, Petite et Moyenne Entreprise. L’EMDC est un outil parfait pour le transfert de technologie et la mise à niveau de l’entreprise.
Le Centre d’Arbitrage et de Médiation de la Chambre de Beyrouth fait également partie d’ISPRAMED, le réseau méditerranéen dans lequel s’investit la Chambre de Milan, et qui œuvre déjà, par la recherche, la formation, les conférences, à relever le niveau de l’Arbitrage dans la région. Cette action est utile pour accompagner l’expansion du commerce et des investissements, surtout les Investissements Directs Etrangers, ainsi que les outils plus modernes du commerce, telle la franchise. Sans doute, les grands projets d’infrastructure de l’Union pour la Méditerranée ne seraient pas possibles, sans l’existence de Centres d’Arbitrage et de Médiation, dans la région, reconnus pour leur compétence.
L’ASCAME, Association des Chambres de Commerce et d’Industrie de la Méditerranée, est fortement intéressée par les travaux d’ISPRAMED et se propose de coopérer avec elle pour faire bénéficier tous les pays de la Méditerranée d’un système « Alternatif de Résolution des Conflits » qui inspire confiance à l’investisseur et à l’entrepreneur étrangers a-t-il poursuivi.
"Le Conseil d’Affaires a une place centrale dans l’organisation des deux chambres. Nous espérons qu’il en tirera le plus grand profit. Nous n’avons pas besoin d’attirer l’attention des hommes d’affaires sur leurs intérêts, nous sommes de ceux qui croient que les hommes d’affaires en poursuivant leurs intérêts propres, réalisent doublement l’intérêt économique de leur pays.
Nous souhaitons bonne chance au Conseil d’affaires Italo-Libanais, et nous l’invitons à démontrer une dynamique à la hauteur des relations d’amitié et de commerce entre l’Italie et le Liban" a-t-il conclu.
Dans son discours, Le président Choucair a indiqué durant la réunion que" des entreprises de premier plan vont coopérer pour que les relations économiques de part et d’autre de la Méditerranée réalisent les vœux de la communauté d’affaires, et soient les plus profitables possibles aux deux nations."
Il a noté que "le Partenariat Public-Privé n’est pas une formule théorique, et qu’il a son application dans le réel. L’implication des ambassades des deux pays dans la formation et le lancement de ce Conseil est une preuve sensible de ce partenariat, et promet beaucoup de développement à l’avenir.
La Chambre de Beyrouth et du Mt-Liban accorde la plus grande importance aux Conseils d’affaires. Plus elle tient à son rôle de conseiller du Gouvernement en matière de commerce extérieur, plus elle tient à le faire en association avec les Conseils d’affaires qui vivent la réalité du terrain. Le résultat ne peut qu’être très satisfaisant.
En effet les hommes d’affaires libanais, notamment les membres de ce Conseil, sont également établis ou en étroite collaboration avec les pays du Golfe. Vous les trouverez en Irak et en Syrie entrain de préparer la reconstruction.
Pour cimenter les relations entre nos deux pays, je vous proposerais de faire en 2014 « La semaine de l’Italie au Liban » et en 2015 « la semaine du Liban en Italie ». Comme nous pouvons envisager des expositions communes dans les pays du Golfe a-t-il déclaré.
Le Liban peut paraitre fragilisé par les évènements qui le touchent ; il ne sera jamais réduit à l’inaction. Il porte en lui une dynamique qui a triomphé de toutes les adversités.
Le Conseil d’affaires Italo-Libanais vient s’ajouter aux liens étroits qui unissent les deux chambres. Déjà la Chambre de Beyrouth fait partie du réseau en formation « Euro-Mediterranean Development Center » qui, à l’initiative de PROMOS, se propose de répandre autour de la Méditerranée les « bonnes pratiques » au service de la Micro, Petite et Moyenne Entreprise. L’EMDC est un outil parfait pour le transfert de technologie et la mise à niveau de l’entreprise.
Le Centre d’Arbitrage et de Médiation de la Chambre de Beyrouth fait également partie d’ISPRAMED, le réseau méditerranéen dans lequel s’investit la Chambre de Milan, et qui œuvre déjà, par la recherche, la formation, les conférences, à relever le niveau de l’Arbitrage dans la région. Cette action est utile pour accompagner l’expansion du commerce et des investissements, surtout les Investissements Directs Etrangers, ainsi que les outils plus modernes du commerce, telle la franchise. Sans doute, les grands projets d’infrastructure de l’Union pour la Méditerranée ne seraient pas possibles, sans l’existence de Centres d’Arbitrage et de Médiation, dans la région, reconnus pour leur compétence.
L’ASCAME, Association des Chambres de Commerce et d’Industrie de la Méditerranée, est fortement intéressée par les travaux d’ISPRAMED et se propose de coopérer avec elle pour faire bénéficier tous les pays de la Méditerranée d’un système « Alternatif de Résolution des Conflits » qui inspire confiance à l’investisseur et à l’entrepreneur étrangers a-t-il poursuivi.
"Le Conseil d’Affaires a une place centrale dans l’organisation des deux chambres. Nous espérons qu’il en tirera le plus grand profit. Nous n’avons pas besoin d’attirer l’attention des hommes d’affaires sur leurs intérêts, nous sommes de ceux qui croient que les hommes d’affaires en poursuivant leurs intérêts propres, réalisent doublement l’intérêt économique de leur pays.
Nous souhaitons bonne chance au Conseil d’affaires Italo-Libanais, et nous l’invitons à démontrer une dynamique à la hauteur des relations d’amitié et de commerce entre l’Italie et le Liban" a-t-il conclu.